Situation sociopolitique : Voici la maladie incurable dont souffre Soro

Après plus de 4 ans de cavale, Guillaume Soro fait encore parler de lui. Mal en point, le putschiste semble finalement essoufflé dans sa cavale, au point où il a décidé d’affronter la justice de son pays. Que cache cette déclaration ?

L’image est saisissante. Guillaume Soro est réapparu sur les réseaux sociaux, très amaigri et affaibli moralement, après plusieurs mois de cavale,  ces 12 et 13 novembre 2023. Une apparition éclaire qui montre clairement que l’ex putschiste est mal en point. Condamné à perpétuité par la justice ivoirienne, Guillaume Soro a décidé depuis le dimanche 12 novembre 2023 de mettre fin à son exil. « Je n’irai pas plus loin dans mon exil. Je refuse d’être un fugitif. J’annonce ici et maintenant que je mets fin à mon exil… Il m’est pénible de vivre loin de ma terre ancestrale et natale d’Afrique. Je veux vivre dans la quiétude avec ma famille, mes proches et ceux que je chéris le plus. Je veux pouvoir contribuer à la réconciliation des fils et des filles de mon pays et apporter ma pierre à l’édification de la paix, de la concorde entre les peuples d’Afrique », avait-il affirmé de façon péremptoire. Une décision qui sous-entend que l’ex leader de la rébellion est prêt à affronter la justice ivoirienne.  Contrairement, au fait qu’il veut montrer à ses rares sympathisants qu’il est encore sur ses grands chevaux, l’expression du faciès à pourtant trahi un secret. Guillaume Soro n’est pas au mieux de sa forme. Une information confirmée par une source proche du putschiste. A la vérité, à en croire notre source qui croit en savoir davantage, Guillaume Soro souffre terriblement d’un mal pernicieux. Une hernie discale communément appelée le syndrome de la queue de cheval, diagnostiquée et qui serait, selon une source médicale, en phase terminale. Malheureusement plutôt que de faire profil bas et faire son méa culpa, Guillaume Soro a tenté encore une fois de faire croire aux Ivoiriens qu’il tient le bon bout. Et pourtant, il n’en est rien. Puisque selon notre source, l’homme sait pertinemment qu’il vit ses derniers instants sur terre en raison du mal qui le ronge. C’est donc la mort dans l’âme qu’il a décidé de mettre fin à 4 ans d’errance et de cavale pour vivre ces derniers instants sur la terre de ses ancêtres, auprès des siens. Peu importe le prix à payer. Sauf que là encore Guillaume Soro sait très bien qu’il devra affronter la justice ivoirienne à son retour en Côte d’Ivoire. Va-t-il se constituer prisonnier et commencer à purger sa peine ? Une vérité qu’il occulte en raison de l’angoisse qui l’anime. En effet, pour faire bonne mine contre mauvaise fortune, le putschiste a improvisé une audience avec le chef de la junte du Niger pour détourner l’attention des Ivoiriens sur le mal qui le ronge. A priori, comme le dirait le citoyen lambda, la fin du film n’est pas loin et le Pôle pénitentiaire d’Abidjan pourrait accueillir, dans les jours à venir, l’un des tout derniers pensionnaires de l’année 2023. Mais Guillaume Soro aura-t-il le courage nécessaire de prendre un vol à destination de la Côte d’Ivoire ? Rien n’est moins sûr. Surtout qu’il a été aperçu en compagnie d’un autre putschiste, le général Abdourahmane Tchiani du Niger le lundi 13 novembre 2023. Si rien n’a filtré de cette entretenue, l’on pourrait penser que Guillaume Soro est à la recherche d’un autre territoire d’exil. Lui qui a prétendument affirmer mettre fin à son exil.

Bill Terrasson