PDCI : Vote tribal et ethnique, c’est terminé pour Bédié

PDCI : Vote tribal et ethnique, c’est terminé pour Bédié
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Sur le plan politique, la Côte d’Ivoire avance. Elle a dépassé les clivages ethniques et religieux, depuis que le RHDP a accédé au pouvoir d’Etat et tente courageusement de rassembler tous les Ivoiriens. Ceux qui comptent à ce jour sur le vote ethnique ou tribal pour gagner une élection présidentielle dans ce pays se trompent sur toute la ligne. Le PDCI de Bédié est averti. Ce parti qui compte sur le V baoulé pour gagner cette présidentielle d’octobre prochain doit encore mûrement réfléchir et comprendre que la Côte d’Ivoire de 1985 ou de 1990 n’est plus celle de 2020. Car l’époque où l’on votait par affinité  est aujourd’hui anachronique. Cette époque est un lointain souvenir, depuis que le RHDP du président Alassane Ouattara gère la Côte d’Ivoire autrement. Dans une Côte d’Ivoire où l’unité nationale, la cohésion sociale et le rassemblement des Ivoiriens sont prônées, le tribalisme n’a plus sa place. Compter donc sur son groupe ethnique pour gagner la présidentielle d’octobre 2020 est une pure illusion de la part de ceux qui croient encore en ces vieilles pratiques.  L’Ivoirien nouveau prôné par le président de la République, Alassane Ouattara a tout son sens ici. C’est pourquoi, le vote du 31 octobre sera un vote-sanction pour les anciens partis politiques qui n’ont posé aucun acte de développement dans le pays et qui pensent qu’ils ont encore la possibilité de revenir aux affaires parce que derrière eux, il y a un groupe ethnique. C’est époque est terminée. Mieux, elle n’a plus sa place dans une Côte d’Ivoire qui connaît un développement fulgurant jamais réalisé. Ceux qui pensent donc gagner les élections sur les réseaux sociaux disant que le peuple Baoulé est prêt pour le PDCI de Daoukro se trompent malheureusement. Parce qu’en réalité, parler de Bédié dans le centre de la Côte d’Ivoire donne de l’insomnie aux vaillantes populations qui n’ont bénéficié de rien du tout du premier successeur de Félix Houphouët-Boigny. Par la faute de Bédié, le centre de la Côte d’Ivoire a sombré dans la pauvreté. Des départements comme Bouaké, Yamoussoukro, Sakassou, Dimbokro entre autres ont été abandonnés par le vieillard de Daoukro qui rêve à un retour au pouvoir.  Sous  Bédié, Yamoussoukro qui faisait la fierté du V Baoulé et de toute la Côte d’Ivoire a perdu de sa superbe par la faute d’un mauvais héritier qui s’est contenté de ce que le père fondateur de la Côte d’Ivoire, Félix Houphouët-Boigny a laissé aux Ivoiriens. Alors que les Ivoiriens attendaient de Bédié une plus-value aux actions de développement du père des Ivoiriens, il a préféré une politique déshonorante. Séparer les Ivoiriens et les opposer.

Bédié sera sanctionné dans les urnes par le travail de Ouattara

Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’excellent travail de développement accompli dans ce pays, depuis son accession au pouvoir d’Etat fera du premier ministre de Côte d’Ivoire, Amadou Gon Coulibaly candidat du RHDP, le président de la République au soir du 31 octobre prochain. C’est un fait. Dans quatre petits mois, les actions du président Ouattara parleront d’elles-mêmes dans toutes les régions de la Côte d’Ivoire. Le Bilan est incontestable. Il est palpable et probant. A l’image de toutes ces routes qui sont réhabilitées et qui ont connu un nouveau bitumage sous Ouattara. Des écoles primaires, secondaires et des universités sont sorties des terres ces dernières années. Des milliers de villages bénéficient du courant électrique et de l’eau potable grâce au régime en place. Si c’est pour citer les grandes actions du président de la République, on n’en finira pas. Comment des Ivoiriens vont voir leur village éclairé et boire de l’eau potable pour aller voter la pauvreté ? Non, c’est le développement qui sera voté cette fois-ci. Les temps ont changé où on comptait sur les voix des parents ou celles de sa communauté pour gagner une élection. Seul le travail accompli sur le terrain pourra déterminer le choix du parti politique appelé à gouverner le pays, après octobre 2020 et non les clivages ethniques et tribaux. Quand on n’a rien fait pour le peuple pendant qu’on était aux affaires, on ne peut pas prétendre apporter quelque chose de nouveau. ‘’Le chien ne change pas sa manière de s’assoire’’, selon l’adage africain. Que pourra proposer de nouveau le vieillard de Daoukro qui est dominé par la haine et l’égoïsme ? Bédié est engagé dans la lutte d’accession au pouvoir pour une chose. Se venger. C’est tout. Sinon, un homme qui a échoué et qui a fait du tribalisme et de la xénophobie son cheval de bataille pendant son mandat présidentiel, pourra-t-il revenir avec quelque chose d’extraordinaire ? C’est terminé pour ceux qui croient encore que le pouvoir d’Etat va s’obtenir par les notions du tribalisme et de l’ivoirité développées aux temps de Bédié et renforcées sous le régime dictatorial du refondateur Laurent Gbagbo. Comme on le constate, le président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara qui avait promis aux Ivoiriens les 25 et 26 janvier 2019, lors du premier congrès extraordinaire du RHDP, une Côte d’Ivoire rassemblée, une Côte d’Ivoire unie où les clivages ethniques et religieux n’existeraient plus, a réussi cette volonté. Il s’est entouré des filles et fils de toutes les régions de la Côte d’Ivoire. Ce sont ces personnalités du centre, de l’ouest, du nord, de l’est et du sud qui feront la différence dans les urnes.

Romaric Sako

L K

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