Tribalisme et régionalisme : ADO et AGC infligent une correction à Bédié et Gbagbo

Tribalisme et régionalisme : ADO et AGC infligent une correction à Bédié et Gbagbo
312 Vues

Tribalisme etrégionalisme honteux. Voici des concepts qui après le décès du père fondateur de la Côte d’Ivoire ont malheureusement gangréné  la politique en Côte d’Ivoire. Les camps Gbagbo et Bédié n’ont pas su jalousement garder les valeurs et idéaux du père fondateur de la nation qui se focalisaient sur la paix et l’unité nationale. L’héritage du premier président a volé tout simplement en éclats pour des raisons égoïstes. La politique de division prônée par Bédié d’abord et ensuite achevée par Laurent Gbagbo  a fini par plonger le pays dans une guerre. Le président Alassane Ouattara et le premier ministre Amadou Gon Coulibaly en qualité de vrais houphouëtistes ont décidé de recoller les morceaux pour permettre au pays de revenir à son rythme politique d’Antan. Cette politique ayant pour socle les fondamentaux du père fondateur de la nation que sont l’unité et le rassemblement porte des fruits aujourd’hui. C’est au nom de cette politique que le président de la république et le premier ministre Amadou Gon Coulibaly aidés dans cette lourde tâche par des vaillants et vrais enfants de Boigny tels que Jeannot Ahoussou, Daniel Kablan Duncan, Adjoumani, Amadou Soumahoro  travaillent pour sauver la Côte d’Ivoire en proie à cette crise sanitaire.  En clair, le président de la république à travers la gestion de la crise du COVID 19 a convaincu ses adversaires idéologiques. En effet, la politique telle que pratiquée par le président Alassane Ouattara et son camp n’a pas pour socle le tribalisme ni la xénophobie, l’apanage de ceux qui ont dirigé le pays avant. Aujourd’hui, tous les départements et régions sont traités sans discrimination dans la gestion de la guerre sanitaire. Du Nord en passant par le sud, l’est, l’ouest  et le centre toutes les régions bénéficient du soutien des autorités du pays. L’opposition qui était dans la logique de saper  la dynamique de l’union dans laquelle la crise se gère, révise son agissement. Aujourd’hui, Affi, Guikahué et les autres ont compris le bon combat du président Ouattara et du premier ministre. Un combat qui ne fait pas l’apologie ethnique et tribale.

L’opposition regrette ses actes de discrimination

Le moins que l’on puisse dire aujourd’hui, c’est que l’opposition regrette ses actes de discriminations sur lesquels reposait leur politique. Les opposants ivoiriens semblent avoir été convaincus par les dirigeants actuels. Et la gestion de la crise sanitaire en est une preuve palpable. Cette opposition est convaincue de la bonne gestion de la crise par les autorités au point qu’elle, qui a toujours aveuglement critiqué décide d’accompagner le régime RHDP dans la lutte. C’est de bonne guerre, étant donné qu’Affi et Guihahué se sont rappelésde leur maussade gestion quand ils étaient aux affaires. Si l’opposition ivoirienne qui depuis longtemps a renoncé aux différentes propositions du gouvernement comprend l’importance d’une collaboration avec le régime aujourd’hui, cela signifie que ces opposants sont persuadés de la bonne gestion du régime. Car selon l’adage, le travail bien exécuté a toujours été reconnu à la fin. L’opposition en décidant de collaborer avec le gouvernement pour la gestion de la crise sanitaire, après avoir boycotté des projets de lois, reconnaît enfin ses failles et donne raison au RHDP.On note également que ce n’est pas pour la première fois que l’opposition reconnaisse le travail valeureux du régime d’Abidjan. En effet, après la crise postélectorale qui a fait 3000 morts dans le pays, des proches de Laurent Gbagbo, après leurretour d’exil volontaire ont reconnu le bon travail abattu par le président de la république Alassane Ouattara et ses collaborateurs. Grande a été la surprise des pro-Gbagbo à leur retour de promenade de découvrir que le pays a changé de visage. Des routes défectueuses laissées en héritage, des écoles et universités en désuétude ont miraculeusement été réhabilitées. Plus d’une vingtaine de ponts ont été construits. Le pays de décombres abandonné par Gbagbo a été littéralement reconstruit ; et a retrouvé ses lettres de noblesse. Quand Angèle Gnonsoa descend à l’aéroport Félix Hiouphouët-Boigny de Côte d’Ivoire, de l’autre côté de Port-Bouët, mettant fin à son ironique exil qui est en réalité une tentative de sabotage du gouvernement, elle s’écrit : ‘’ Han, il a travaillé cet homme’’.

Vers la fin d’une opposition en Côte d’Ivoire

A cette allure, il n’y aura plus d’opposition en Côte d’Ivoire. Parce qu’une opposition satisfaite des réalisations et du progrès du gouvernement ne peut que venir s’associer à ce gouvernement pour former une entité efficace pour le développement de la Côte d’Ivoire. Et cela ne tardera plus. Parce que personne n’a véritablement rien à reprocher à ce pouvoir qui gère le pays avec parcimonie depuis la chute du dictateur LAURENT Gbagbo.Lae pays étant bien géré, le pays étant en marche, les opposants ont une seule option qui est celle de venir grossir les rangs des hommes des vrais houphouëtistes qui sont en train de bâtir un pays puissant.

Jeanne Auréole

L K

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *